Catégorie : Littérature

  • Le choix de la grammaire

    Le choix de la grammaire

    On me demande sou­vent si j’ai un pro­chain roman en pro­jet — et en effet, c’est bien le cas. Mais les per­sonnes qui ont lu Le Point aveugle me demandent par­fois en plus si le pro­chain roman sera écrit avec la même gram­maire ori­gi­nale. C’est une bonne ques­tion. Chaque roman a sa forme propre. La gram­maire inven­tée pour…

  • Du roman à l’écran

    Du roman à l’écran

    Un article, écrit pour la monographie Ursula K. Le Guin parue aux éditions ActuSF en 2021, à propos des adaptations audiovisuelles de son roman The Leathe of Heaven, et des adaptations audiovisuelles de façon générale.

  • Hier et aujourd’hui : anciennes nouvelles

    Hier et aujourd’hui : anciennes nouvelles

    Durant la semaine pas­sée, deux per­sonnes de mon entou­rage, qui ne se connaissent pas entre elles mais avec qui, pour cha­cune d’elles, se des­sine un lien qui prend la forme de l’a­mi­tié, m’ont deman­dé à décou­vrir ce que j’é­cri­vais. Je les ai d’a­bord ren­voyées vers mes romans et vers ce site, mais j’ai pris conscience que…

  • En vrac #3 – Fractales

    En vrac #3 – Fractales

    Je vis l’é­cri­ture d’un roman comme la construc­tion d’un sys­tème de frac­tales. C’est sans doute remâ­cher une vieille lec­ture sur les tech­niques d’é­cri­ture, réin­ven­ter la roue, que d’u­ti­li­ser cette image, mais il me semble que c’est la plus juste : on dessine/pressent d’a­bord une forme géné­rale, puis l’on se plonge dans le détail de cette forme,…

  • Embrasser l’insignifiance

    Embrasser l’insignifiance

    Le voi­là de retour. Je n’é­tais pas pres­sé qu’il repointe son nez, et qu’il insiste en plus. Mais puisque tu es là, salut à toi alors. Pas besoin de te dire de faire comme chez toi, n’est-ce pas ? Fichu com­pa­gnon d’écriture.  Il est reve­nu : le doute. Ça com­mence par l’in­trigue : est-ce que je vais dans la bonne…

  • En vrac #2 – Réconfort

    En vrac #2 – Réconfort

    Comme l’être humain a besoin d’être ras­su­ré ! C’est cer­tai­ne­ment ce qui explique le fameux hap­py end, et les his­toires pleines de bons sen­ti­ments… et sans doute même toutes les his­toires : on se sent ras­su­ré de voir les autres triom­pher des épreuves (c’est pos­sible !), mais ras­su­ré aus­si de leur mal­heur (il y a plus mal­heu­reux que moi !) « Si…